Éléonore Challine partage ici, dans une courte présentation, son expérience de traduction et de lecture de : « Reconsidérer la photographie érotique. Notes pour un projet de sauvetage historique » de Abigail Solomon-Godeau.

Le numéro 4 de Photographica propose de définir la notion de « productrices/producteurs de photographies », afin de prendre en compte des individus jusque-là peu considérés dans l'historiographie des images photographiques, alors même qu'ils participent pleinement à leur fabrique et à leur diffusion.

Le lien entre image mnémonique et image artistique, s'il semble justifié, n’en est donc pas moins complexe dès que l’on souhaite dépasser l'analogie. Pour apporter de nouveaux éclairages sur cette question, ce volume se concentre sur un point central : le lien entre le lieu et la figure dans la peinture des Trecento et Quattrocento.

Ce dossier thématique interroge les conditions par lesquelles se sont forgés les savoirs disciplinaires sur le film et le cinéma.

En matière d'art, « la rencontre de l'actualité avec le passé est un point de départ. Un fantastique début qui est partout et nulle part et qui arrive sans prévenir ici ou là. »

Ce volume constitue le numéro ultime de la revue Cahiers du CAP aux Éditions de la Sorbonne. La publication réunit neuf essais de jeunes chercheurs de haut niveau qui privilégient la transversalité pour atteindre de nouveaux chantiers de recherche.

Troisième numéro de la revue Photographica, « Histoires-monde de la photographie » présente un dossier dédié à l'histoire des réseaux d’échanges et de circulation du médium photographique ainsi qu’à l’histoire de sa géographie.

Jacques Copeau quitte Paris en 1924 pour fonder une éphémère école avec de jeunes comédiens, en lien avec le Vieux-Colombier en Bourgogne. L'échec de ce projet débouche sur la formation par les comédiens d’une troupe, afin de vivre et de bénéficier de l’enseignement de Copeau. Tôt baptisée Les Copiaus, la troupe rayonne de 1925 à 1929.

C'est à travers la figure singulière du fantôme, regroupant sous cette rubrique tout un ensemble de phénomènes, que cet ouvrage interroge l'existence de ce qu'on pourrait appeler le paradigme fantomatique.

Les contributions qui constituent ce volume éclairent la patrimonialisation en tant que processus dynamique d'interaction avec la création, celle-ci étant entendue au sens large de production artistique, culturelle et sociale dont les enjeux sont aussi bien esthétiques que politiques et institutionnels.