Le tiré à part est une pratique savante née au XIXe siècle qui consiste, pour l'auteur ou l’autrice d’un article, à envoyer sa publication à ses collègues avec un mot d’accompagnement, témoignage de gratitude et de reconnaissance. Les Tirés à part proposés dans cette collection détournent l’usage et la fonction de cette pratique académique. En marge des foisonnantes bibliothèques numériques, chaque numéro est un envoi destiné à la communauté de lecteurs et de lectrices en sciences sociales. Histoire, anthropologie, philosophie, sociologie, géographie, archéologie, droit, linguistique, littérature, science politique, histoire des arts : la collection invite à la surprise et à la découverte, en faisant re-circuler des textes parfois méconnus.
Michel Porret partage ici, dans une courte présentation, son expérience de lecture de : « La responsabilité morale de l'historien » de Bronislaw Baczko.
Jean-François Laé partage ici, dans une courte présentation, son expérience de lecture de : « Le roman de la désaffiliation. À propos de Tristan et Iseut » de Robert Castel.
Philippe Artières partage ici, dans une courte présentation, son expérience de lecture de : « Saint Pierre ou la douceur de vivre ? » de Philippe Ariès.
de Jean-Claude Perrot, Michelle Perrot, Madeleine Rebérioux, Jean Maitron
Tirés à part
Sophie Coeuré partage ici, dans une courte présentation, son expérience de lecture de : « La Sorbonne par elle-même, mai-juin 1968. Introduction » de Jean-Claude Perrot, Michelle Perrot, Madeleine Rebérioux et Jean Maitron.
Marie-Ève Thérenty partage ici, dans une courte présentation, son expérience de lecture de : « Usages du faux. Faits divers et romans criminels au XIXe siècle » de Dominique Kalifa.
Jean-Marie Privat partage ici, dans une courte présentation, son expérience de lecture de : « La voie des oiseaux. Sur quelques récits d'apprentissage » de Daniel Fabre.