Éditions de la Sorbonne
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Histoire ancienne et médiévale
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Geneviève Bührer-Thierry
Bührer-Thierry, Geneviève
Geneviève
Bührer-Thierry
B09
Violaine Sebillotte Cuchet
Sebillotte Cuchet, Violaine
Violaine
Sebillotte Cuchet
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Identités subies, identités intégrées
Les Grecs dans l'Europe du nord-ouest (XV<sup>e</sup>-XVI<sup>e</sup> siècle)
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GCOI
28405100163580
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979-10-351-0852-6
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Mathieu Couderc
Couderc, Mathieu
Mathieu
Couderc
<p><strong>Mathieu Couderc </strong>est enseignant et docteur en histoire médiévale de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses recherches portent sur l’histoire des migrations et la formation des identités à la fin du Moyen Âge et au début de l’époque moderne. Il travaille actuellement à de nouvelles recherches archivistiques sur l’implication économique et sociale des Grecs dans l’exercice du pouvoir en France.</p>
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Histoire
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<p>La chute de Constantinople (29 mai 1453) marque traditionnellement la fin du monde byzantin dont les ressortissants auraient été rejetés par le pouvoir ottoman, contraints de fuir vers l'Occident. Cette idée comporte plusieurs erreurs, la principale étant que les Grecs n’ont pas attendu la prise de la Ville pour tenter de trouver un refuge à l’ouest et qu’ils ne se sont pas limités à la péninsule Italienne. Si ce territoire est traversé par des migrants grecs dès le XIV<sup>e</sup> siècle, le nord de l’Europe est également touché à partir du début du XV<sup>e</sup> siècle. Malgré une augmentation des Grecs en Occident au milieu du siècle, ce mouvement migratoire doit être envisagé dans le temps long et sur un espace étendu qui englobe l’Angleterre, la France, les États bourguignons et même au-delà – l’Écosse et la Scandinavie sont concernées.<br />
À partir d’une historiographie trop souvent centrée sur la Méditerranée et de sources occidentales éparses et collectées au gré des circonstances et sans vision d’ensemble, ce livre propose un travail sur des groupes humains confrontés à une remise en cause de leur mode de vie, contraints de recréer des liens entre eux et surtout avec les populations occidentales qui les accueillent. Pour ce faire, toutes les stratégies sont bonnes, depuis la mise en place de circuits de collectes de dons pour les plus pressés, jusqu’à l’édification de stratégies d’alliances avec les membres des aristocraties occidentales pour les plus tenaces.<br />
Le cas des Grecs en Occident offre également la possibilité de réfléchir à ce que sont les identités. En effet, les sources évoquent les différentes images déjà convenues accolées aux Grecs – le médecin, le marchand, le lettré… ou le voleur. Ces fictions sont des récits créés afin de permettre dialogue et compréhension – du moins formellement – entre les migrants et les populations qui les accueillent. Ces groupes de Grecs sont représentatifs de la manière dont l’étranger est perçu et catégorisé dans une partie de l’Europe occidentale peu habituée au départ à côtoyer des populations originaires de Méditerranée orientale.</p>
<p><br />
<strong>Préface de Patrick Boucheron</strong></p>
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<p>La chute de Constantinople (29 mai 1453) marque traditionnellement la fin du monde byzantin dont les ressortissants auraient été rejetés par le pouvoir ottoman, contraints de fuir vers l'Occident. Cette idée comporte plusieurs erreurs, la principale étant que les Grecs n’ont pas attendu la prise de la Ville pour tenter de trouver un refuge à l’ouest et qu’ils ne se sont pas limités à la péninsule Italienne. Si ce territoire est traversé par des migrants grecs dès le XIV<sup>e</sup> siècle, le nord de l’Europe est également touché à partir du début du XV<sup>e</sup> siècle. Malgré une augmentation des Grecs en Occident au milieu du siècle, ce mouvement migratoire doit être envisagé dans le temps long et sur un espace étendu qui englobe l’Angleterre, la France, les États bourguignons et même au-delà – l’Écosse et la Scandinavie sont concernées.<br />
À partir d’une historiographie trop souvent centrée sur la Méditerranée et de sources occidentales éparses et collectées au gré des circonstances et sans vision d’ensemble, ce livre propose un travail sur des groupes humains confrontés à une remise en cause de leur mode de vie, contraints de recréer des liens entre eux et surtout avec les populations occidentales qui les accueillent. Pour ce faire, toutes les stratégies sont bonnes, depuis la mise en place de circuits de collectes de dons pour les plus pressés, jusqu’à l’édification de stratégies d’alliances avec les membres des aristocraties occidentales pour les plus tenaces.<br />
Le cas des Grecs en Occident offre également la possibilité de réfléchir à ce que sont les identités. En effet, les sources évoquent les différentes images déjà convenues accolées aux Grecs – le médecin, le marchand, le lettré… ou le voleur. Ces fictions sont des récits créés afin de permettre dialogue et compréhension – du moins formellement – entre les migrants et les populations qui les accueillent. Ces groupes de Grecs sont représentatifs de la manière dont l’étranger est perçu et catégorisé dans une partie de l’Europe occidentale peu habituée au départ à côtoyer des populations originaires de Méditerranée orientale.</p>
<p><br />
<strong>Préface de Patrick Boucheron</strong></p>
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Ce livre propose un travail sur des groupes humains confrontés à une remise en cause de leur mode de vie, contraints de recréer des liens entre eux et surtout avec les populations occidentales qui les accueillent. Le cas des Grecs en Occident offre également la possibilité de réfléchir à ce que sont les identités.
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<p>Préface</p>
<p><strong>Introduction générale</strong></p>
<p>Qu'est-ce qu'un Grec ?</p>
<p>Quelle littérature pour les Grecs ?</p>
<p>Comparables Grecs</p>
<p>Identités subies, identités intégrées : questions et définitions</p>
<p>Nouveaux terrains d'enquête</p>
<p>Renouveau documentaire</p>
<p><strong>première partie - Identifications</strong></p>
<p>Introduction de la première partie</p>
<p><strong>Chapitre 1. Des groupes épars</strong></p>
<p><strong><em>Des groupes minoritaires mais visibles</em></strong></p>
<p><em>État des lieux</em></p>
<p>Une présence faible</p>
<p>Une visibilité documentaire réelle</p>
<p><em>Statuts sociaux</em></p>
<p><em>Une « nation » des Grecs ?</em></p>
<p>Une patrie grecque (To Hellenikon) ?</p>
<p>Les Grecs hors de Grèce : une « nation » ?</p>
<p><em><strong>Prosopographie</strong></em></p>
<p><em>Fiches signalétiques</em></p>
<p>Patronymes : un problème méthodologique</p>
<p>Patronymes : essai de recomposition sociale</p>
<p>Féminités</p>
<p>Jeunesse, vieillesse, âge mûr : une incertitude</p>
<p><em>Temporalités</em></p>
<p>Temps forts et temps faibles de la présence grecque</p>
<p>Typologie</p>
<p>1400-1450 : Faible présence. Marchands et diplomates</p>
<p>1440-1480 : réfugiés et marchands</p>
<p>1460-1530 : Implantations. Carrières administratives et militaires/Installations dans le temps</p>
<p>1500-1570 : le temps des secondes générations</p>
<p><strong><em>Activités</em></strong></p>
<p><em>Les Grecs, détenteurs d'un savoir-faire convoité</em></p>
<p><em>Métiers. Une typologie</em></p>
<p>Culture et sciences</p>
<p>Culture militaire</p>
<p>Marchandise et commerce</p>
<p>Services</p>
<p><em>Précarité, inactivité, mendicité</em></p>
<p><strong>Chapitre 2. Des Grecs mobiles</strong></p>
<p><strong><em>Départs</em></strong></p>
<p><em>Méthode</em></p>
<p><em>D'où viennent les Grecs ?</em></p>
<p>Constantinople et ses alentours</p>
<p>Le Péloponnèse et la Grèce continentale</p>
<p>Les îles grecques</p>
<p>Trébizonde et la mer Noire</p>
<p>Des provenances occidentales</p>
<p><em>Lignes de fuite</em></p>
<p>Lieux d’origine ou points de départ ?</p>
<p>Voyager seul ou accompagné ?</p>
<p><strong><em>L’entrée en Occident</em></strong></p>
<p><em>L’Italie avant l’Europe du Nord-Ouest</em></p>
<p>Points d’entrée</p>
<p>• Venise, la porte d’entrée classique</p>
<p>• Le « hub » milanais</p>
<p>• Rome, la voie cardinalice</p>
<p><em>Des absents ?</em></p>
<p>Évolutions</p>
<p><em>Par-delà les Alpes</em></p>
<p>Le franchissement des Alpes, un gouffre documentaire</p>
<p>Itinéraires transalpins</p>
<p>• France, Bourgogne, Angleterre… et les autres</p>
<p>• Des circuits hiérarchisés</p>
<p><strong><em>Fixations et retours</em></strong></p>
<p>Idées reçues sur la notion de « gens de passage »</p>
<p>Fixations et installations</p>
<p>La tentation constante de la mobilité</p>
<p>Conclusion de la première partie</p>
<p><strong>deuxième partie - Extranéités</strong></p>
<p>Introduction de la deuxième partie</p>
<p><strong>Chapitre 3. Alternatives grecques</strong></p>
<p><strong><em>Figures de l’altérité</em></strong></p>
<p><em>Une notion controversée</em></p>
<p><em>Altérité, norme et effet de miroir</em></p>
<p><em>Altérité et « déficit d’appartenance »</em></p>
<p><strong><em>Le Grec à l’envers du Latin ?</em></strong></p>
<p><em>Une lecture de l’altérité intégrée aux sociétés occidentales</em></p>
<p><em>À côté plutôt qu’à l’envers</em></p>
<p><em>Un autre cas d’altérité grecque en Europe occidentale : les Grecs d’Italie du Sud</em></p>
<p><strong><em>Un Exemplum inversé</em></strong></p>
<p><em>Des malheurs des Grecs : généralisations et réécritures</em></p>
<p><em>Un discours religieux sur les Grecs ?</em></p>
<p><em>Une image moralisante du Grec à destination des Occidentaux</em></p>
<p><strong><em>De la figure du Grec à celle du Levantin</em></strong></p>
<p><em>Sociologie du Levantin (XII<sup>e</sup>-XIX<sup>e</sup> siècle)</em></p>
<p><em>Le Grec comme précurseur du Levantin</em></p>
<p>Le Grec, une appellation globale</p>
<p>Recentrage sémantique et élargissement géographique</p>
<p>Continuités</p>
<p><strong>Chapitre 4. Des étrangers</strong></p>
<p><strong><em>Le Grec comme étranger : une catégorie occidentale ?</em></strong></p>
<p><em>Extranéité et contrôle social : une réalité ?</em></p>
<p>Dire l’étranger</p>
<p>Droit d’aubaine, Alien Subsidies et autres charges fiscales</p>
<p>La lettre de naturalité : un faux-semblant</p>
<p><em>Ambivalences d’une catégorie polysémique</em></p>
<p>Temporalités variables</p>
<p>Extranéité et sociétés curiales : une « patrie » pour les étrangers ?</p>
<p>De nouveaux champs d’analyse ? La notion d’« incertitude »</p>
<p><strong><em>Le Grec, un étranger hors de la société ?</em></strong></p>
<p><em>Marginalités ?</em></p>
<p><em>Entre étrangers</em></p>
<p>Les étrangers grecs et les autres : rapports de force</p>
<p>Entre partenariat et concurrence : Grecs et Italiens</p>
<p>Coexistence et cohabitation : les Grecs et les Theotonici de Londres</p>
<p>Et les autres ?</p>
<p><em>Suspicions</em></p>
<p>L’étrange étranger</p>
<p>La cinquième colonne schismatique</p>
<p>Des Grecs persécutés ?</p>
<p><strong><em>Étranges interactions</em></strong></p>
<p><em>Un mode de vie étranger ?</em></p>
<p>Adaptation aux pratiques culturelles locales</p>
<p>Jeux d’apparences : jouer à l’étranger</p>
<p><em>Interactions paritaires</em></p>
<p>Peer Polity Interaction : une compatibilité ?</p>
<p>Comparaisons</p>
<p><em>Proximités</em></p>
<p>De proches étrangers</p>
<p>Faire « comme si »</p>
<p>Conclusion de la deuxième partie</p>
<p><strong>troisième partie - Insertions</strong></p>
<p>Introduction de la troisième partie</p>
<p><strong>Chapitre 5. Des sociétés grecques transalpines</strong></p>
<p><strong><em>Les formes de l’organisation sociale grecque</em></strong></p>
<p><em>Organisation spatiale : esquisses</em></p>
<p>Instabilité : un obstacle à une histoire spatiale des Grecs ?</p>
<p>Ruralités, urbanités : une tendance</p>
<p>Essai d’histoire urbaine : les Grecs de Londres</p>
<p><em>Des groupes diasporiques ?</em></p>
<p>Définitions et enjeux</p>
<p>Des critères d’analyse multiples</p>
<p>L’impossible diaspora grecque d’Europe du Nord-Ouest</p>
<p><strong><em>Des cadres sociétaux pour les Grecs</em></strong></p>
<p><em>Des communautés grecques transalpines ?</em></p>
<p>Modèles méditerranéens</p>
<p>Indices de communautés grecques en Europe du Nord-Ouest</p>
<p>Des communautés alternatives ?</p>
<p>Un cas particulier : les sociétés marchandes grecques</p>
<p><strong><em>Sociabilités</em></strong></p>
<p><em>Amitiés, fidélités, clientélisme</em></p>
<p><em>Des solidarités interculturelles ?</em></p>
<p><em>Distinction sociale et grécité</em></p>
<p>Distinctions sociales internes aux Grecs</p>
<p>La grécité comme marqueur de différenciation sociale</p>
<p><strong>Chapitre 6. Les Grecs dans les sociétés politiques d’Europe du Nord-Ouest</strong></p>
<p><strong><em>Les Grecs et les États européens : concurrence et souci de prestige</em></strong></p>
<p><em>« Genèse de l’État moderne » et migrations grecques : concordance des temps</em></p>
<p><em>Enjeux princiers autour de l’installation des Grecs</em></p>
<p>Nouvelle offre administrative</p>
<p>Échanges de bons procédés princiers : les cas de Théodore Plantidorus et Nicolas Cunctus (septembre 1459)</p>
<p>Les Grecs et l’évergétisme princier : un langage ?</p>
<p><em>Au service armé de l’État</em></p>
<p>Dans les armées du prince : le cas des Stradioti</p>
<p>Les Grecs et la marine occidentale</p>
<p><strong><em>Les Grecs, les princes et la croisade</em></strong></p>
<p><em>Manuel II en Occident : les Grecs, promoteurs de la croisade</em></p>
<p><em>Le Banquet du Faisan : les Grecs, prétextes à la croisade</em></p>
<p><em>André Paléologue et Charles VIII : les Grecs hors de la croisade</em></p>
<p><em>Perspectives</em></p>
<p><strong><em>Des courtisans comme les autres ?</em></strong></p>
<p><em>Stratégies curiales d’insertion</em></p>
<p><em>Des objets de curiosité ?</em></p>
<p>Fournisseurs en réjouissances princières</p>
<p>Entre nouveauté et curiosité exotique : une mode ?</p>
<p><em>Itinéraire d’un courtisan entre Angleterre et France : Thomas Francos</em></p>
<p>Conclusion de la troisième partie</p>
<p><strong>quatrième partie - Fictions</strong></p>
<p>Introduction de la quatrième partie</p>
<p><strong>Chapitre 7. Mises en récit</strong></p>
<p><strong><em>Une question de sources</em></strong></p>
<p><em>Diversité des sources, diversité des discours</em></p>
<p>À chaque support son récit</p>
<p>Créer du récit : le cas des registres de comptes</p>
<p><em>Du Grec des poètes au Grec des chancelleries</em></p>
<p>Polysémies</p>
<p>Typologie</p>
<p><em>Le Grec poétique</em></p>
<p><em>Le Grec exotique</em></p>
<p><em>Le Grec rejeté</em></p>
<p><em>Le Grec administratif</em></p>
<p><strong><em>Requalifier les Grecs</em></strong></p>
<p><em>Grecs ou Romains ?</em></p>
<p>Histoire d’un malentendu</p>
<p>Des Grecs devenus grecs</p>
<p>Un outil de communication ?</p>
<p><em>Un nouveau statut pour des Grecs entre deux mondes ?</em></p>
<p>Des Grecs au service des autres peuples</p>
<p>Passeurs et/ou intermédiaires ? La question des Brokers</p>
<p>Des sociétés de l’entre-deux ?</p>
<p><strong>Chapitre 8. Récits et identités</strong></p>
<p><strong><em>Récits et identités : de la « figure » à la « fiction » grecques</em></strong></p>
<p><em>Des malheurs des Grecs : un récit à différents niveaux</em></p>
<p><em>Fictions politiques et fictions grecques</em></p>
<p><em>Des « figures » aux « fictions » grecques</em></p>
<p><strong><em>Entreprises mémorielles</em></strong></p>
<p><em>Mémoires ethniques, mémoires familiales</em></p>
<p>Mémoires grecques</p>
<p>Mémoires familiales</p>
<p>Mémoires idéalisées</p>
<p><em>Des communautés mémorielles ?</em></p>
<p>Historiographie des mémoires collectives</p>
<p>Un fonds mémoriel commun pour les Grecs ?</p>
<p><em>Mémoires métissées</em></p>
<p>Secondes générations : assimilations et métissages</p>
<p>Des mémoires utiles aux Occidentaux</p>
<p><strong><em>Être grec : des identités à choix multiples</em></strong></p>
<p><em>Marques identitaires et sentiment d’appartenance : une confrontation ?</em></p>
<p>Pluralité et confusion des modèles de « grécité »</p>
<p>• L’Empire des Grecs</p>
<p>• La religion</p>
<p>• La langue</p>
<p><strong><em>Diversité des récits identitaires en Occident</em></strong></p>
<p><em>Des identités négociées</em></p>
<p><em>Des identités fragmentées</em></p>
<p><em>Des acteurs au pluriel</em></p>
<p>« Unicité de soi » et « acteur pluriel »</p>
<p><strong><em>Pluralité des logiques d’action</em></strong></p>
<p><strong><em>Des identités grecques multiples</em></strong></p>
<p><em>Processus</em></p>
<p><em>Identités subies, identités intégrées : une hypothèse</em></p>
<p>Conclusion de la quatrième partie</p>
<p><strong>Conclusion générale</strong></p>
<p>Une présence grecque en Occident plus étendue et plus ancrée dans le temps</p>
<p>De nouveaux modèles d’organisation sociale pour les Grecs</p>
<p>De nouvelles perspectives sur la fabrique identitaire</p>
<p><strong>Dossiers documentaires</strong></p>
<p>Dossier documentaire, n<sup>o</sup> 1. Autour de la famille Bissipat</p>
<p>Dossier documentaire, n<sup>o</sup> 2. Autour du voyage de Manuel II Paléologue en Occident (1399-1403)</p>
<p>Dossier documentaire, n<sup>o</sup> 3. Les Grecs de Londres</p>
<p><strong>Répertoire prosopographique 1400-1600 - Angleterre-États bourguignons-France</strong></p>
<p><strong>Sources</strong></p>
<p><strong>Bibliographie</strong></p>
<p><strong>Index général</strong></p>
<p><strong>Table des illustrations</strong></p>
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<p>Contact : <a href="mailto:genevieve.thierry@univ-paris1.fr">genevieve.thierry[at]univ-paris1.fr</a> et <a href="mailto:violaine.sebillotte@univ-paris1.fr">violaine.sebillotte[at]univ-paris1.fr</a></p> <p><b>Histoire ancienne et médiévale</b>, créée en 1973, est une collection emblématique des Éditions de la Sorbonne. Aujourd'hui riche de près de deux cents ouvrages, elle donne à voir les résultats des recherches menées sur les sociétés anciennes, principalement celles de l'Antiquité grecque et romaine et du Moyen Âge occidental et oriental. Elle accueille des travaux récents produits par la communauté scientifique et des programmes de recherche collective menés sur le plan international, offrant ainsi un panorama des thématiques et des méthodes de recherche les plus actuelles.</p> <p>Consulter la collection sur <a href="https://books.openedition.org/psorbonne/3590">OpenEdition Books</a>.</p> <p>ISSN électronique : 2825-3159</p>
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